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Une libellule dans sa bulle

18 avril 2008

L'actuel...

L'actuel est beauuuu, l'actuel est graaannnnd, l'actuel est fort. L'actuel aussi je l'ai connu sur le net (je vous autorise à vous moquer de moi). Au départ, je voulais pas sortir avec lui. C'était mon pote. Mais il m'a fait comprendre qu'il voulait plus et que l'amitié entre hommes et femmes voyons, ça n'existe pas!!!
Physiquement : plus que parfait. D'ailleurs qu'est ce qu'il fout avec moi? Il est grand, il est brun, il est tout plein de charme. Il fait bien les choses. Il a une langue magique (j'ai hésité à écrire ce détail mais j'oserai jamais le dire dans la vraie vie alors...et puis MERDE! c'est MON blog à moi, j'écris ce que je veux!).
Rempli de qualités mais je le sens pas. Me demandez pas pourquoi.
Et je suis en pleine recherche de faille. Pourquoi est il avec moi alors qu'il pourrait trouver tellement mieux? Peut être qu'il en a plusieurs autres? Bon, j'essaye de pas être trop chiante avec lui, je lui dis pas que j'ai absolument pas confiance en lui. J'attends. Peut être que j'ai tort. On verra bien.

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14 avril 2008

Les 2 autres...

J’ai connu d’autres personnes depuis le gars casé .

2 : Le relou.

Au départ, c’était bien. Lui aussi était attentionné. Mais il est devenu opressant, insupportable.
Je m’en veux aussi, car il n’a rien de méchant. Juste il m’infantilisait. J’avais l’impression d’être une gamine de 8 ans. Je le vois encore, de temps en temps, mais il me dit ce que je dois faire, et comment je dois le faire. Je sais que ça part d’une bonne intention mais ça me gêne. Je sais pas pourquoi. Puis le feeling n’était pas le même qu’avec 1). Lui, c’était vraiment un pote mais il voulait plus. Je n’ai pas beaucoup donné plus. J’ai essayé de lui faire un peu plaisir, car il était gentil avec moi et je ne voulais pas qu’il pense que j’abusais de sa gentillesse, mais je ne le laissais pas trop me toucher. Je ne voulais pas et en même temps j’étais triste car ce gars là ne m’aurait pas fait de mauvais coup. Il est gentil. Mais il se rend pas compte qu’il m’étouffait. Je savais que si j’entamais quelque chose avec lui, je m’en sortirais pas. Ou mal. J’espère qu’il ne tombera pas sur ce blog, car ce n’est pas gentil ce que je dis. Je l’aime bien, sincèrement. Mais je n’aime pas qu’on me materne. Ca rentre dans la catégorie « bétises » car j’ai flirtouillé avec lui et je n’aurais pas du. J’aurais du lui dire non, directement. Mettre les choses au clair quoi. Je pense que « grace » à cette expérience, je ne je recommencerai pas car ça m’a vraiment fait de la peine pour lui.
Bon, derrière ses gentillesses, deux ou trois paroles l’ont trahie, on sait très bien que lui aussi, il les voulait mes fesses. Peut être même que si je les lui avais donné, il aurait été tout de suite plus con. Je ne le saurais jamais (tant mieux !)

3 : Le largué depuis peu

Lui, ça doit être le pompom. Un con mais alors un coooonnnn !!! Ah mais c’est facil, me direz vous, de dire qu’il est con après s’être faite avoir.
Lui, je papotais sur le net avec lui depuis l’âge de 15 ans au moins (mais pas super régulièrement). Il connaît ma vie, je connais la sienne. On s’est vu pas mal de fois, mais sans plus. Il se fait largué, on se voit un peu plus. Mais le largué depuis peu est un con, chère lectrice (la larguée depuis peu doit être encore plus conne, chèr lecteur) : on se voit, on flirt, puis son ex revient. Bon, ça s’est passé tellement vite, qu’heureusement, je ne me suis pas attachée mais lis, lecteur, lectrice, ce qui va suivre, c’est presque drôle. Donc : sa copine commence à revenir, le type m’appelle tous les soirs et me raconte, moi SOMBRE SOTTE je le conseille, pour qu’il retourne avec elle, puis PLOUF, un jour, plus RIEN ! Plus de nouvelles. Je conclue qu’il s’est remis avec elle mais je patiente. Plusieurs semaines, aucunes nouvelles, à peine des réponses à des textos sans ambiguité, juste histoire de prendre des nouvelles. Avouez que c’est quand même étrange, quelqu’un qui vous appelle tous les jours pour vous saouler avec sa vie (car il n’hésitait pas appeler à 2h du mat’ apres la conversation avec sa pouf (pardon mais pour le coup, elle, elle est vraiment conne)) et qui, du jour au lendemain, vous donne plus de nouvelles. Puis deux mois plus tard (rien que ça), le type m’envoit un texto pour prendre de mes nouvelles et me dire que ça va plus trop avec machine, ça recommence etc. Je m’en doutais trop trop trop trop ! Alors je lui ai dit d’aller se faire foutre (normal non ?). Puis il insiste, je réponds pas. Puis plus rien. Je comprends alors qu’il s’est rerereremis avec elle. Facebook confirmait. Puis moi, un soir, « pétage de cable » comme on dit, j’avais rien à faire, j’ai les textos illimités alors je lui envoie un truc du genre : c’est dommage que tu n’assumes pas ce que tu fais, blablabla. Evidement, c’est sa copine qui a lu le message. Elle comprend qu’il s’est passé quelque chose (pas grand-chose en réalité) alors qu’ils étaient plus ensemble certes, mais comme il ne lui avait pas dit, elle le rererererelargue ! Mais cette fois, c’est pour de bon. Alors le type, il me textote, pour qu’on parle, parce que j’ai mal compris, parce qu’il avait des exam alors il a pas trop eu le temps etc etc. Inutile de préciser, que ma seule réponse à été : va mourir ! Affaire à suivre surement…

Vous voyez, je les cherche pas. Les deux types là, à la base, ils avaient l’air stables psychologiquement et pas méchants. C’est après le flirt qu’ils ont commencé à buguer !
L’un à devenir un peu trop présent (alors que je me plainds d’être seule, je sais, c’est contradictoire) et l’autre par son non-respect. Il a pas compris qu’on se servait pas des gens à notre guise. On ne contacte pas les gens que quand on est tout seul ou quand on en a besoin. C’est une question de savoir vivre mais il n’a pas compris. CONNARD ! Ma vie est assez compliquée comme ça, je vais pas m’entourer de gens qui respecte rien volontairement.
Faut savoir faire un tri et mieux vaut être seul(e) que mal accompagné(e).

11 avril 2008

1er post...

1er et peut être le dernier...
Je ne sais pas si je vais tenir ce blog. J'en possède déjà un, de cuisine, ma pseudo passion. Mais celui-la, étant donné que c'est pour raconter ma vie, je ne sais pas si j'aurais le courage.
Comme dit Pénélope, ça fait un peu :

bday_1_
clic clic sur l'image


1er post, la présentation s'impose. On va dire que je m'appelle Eglantine. J'ai 21 ans. Je vis à Paris. Enfin...je suis une provinciale qui a voulu exceller à Paris.
Paris...Je voulais tant y aller. Et pourtant c'est loin de ce que j'imaginais. Je disais qu'à Paris, j'allais faire plein de choses, voir pleins de choses, vivre pleins de choses. QUE NENI. Quand tu débarques à Paris et que tu connais personne, t'es juste PAUMEE!!!
Les premières semaines, tout se passe bien. Tu viens de quitter le cocon familial, tu as ton indépendance mais la réalité revient vite. T'es tout(e) seul(e) : le matin, tu te disputes plus avec ta soeur pour la salle de bain et même ça ça te manque. Plein de choses à faire, voir et vivre? Oui mais t'es tout(e) seul(e). Faut apprendre à vivre seul(e), loin de tout le monde. Quand tu as un souci avec ton rideau de douche par exemple (mon cas en ce moment) bah t'es tout(e) seul(e) pour le régler. Tu aimerais aller boire un verre, aller voir une expo...MAIS T'ES TOUT(E) SEUL(E). C'est la merde. 7 mois (que dis je!!! 8 mois!!!) que je suis sur Paris et je connais toujours personne, aucun ami, aucun verre après le taff. Rien. Enfin si deux trois trucs...Depuis que je suis ici, rien ne va plus dans ma tête car je fais n'importe quoi!!
Car rien ne se passe vraiment. Faut faire des connaissances mais je suis pas très sociable, assez timide. Je suis à la fac. 1er semestre dans un parcours qui ne me convenait pas, j'ai changé au 2nd, histoire de perdre moins de temps. Mais toi aussi, change de fac, en plein milieu d'année, intègre une classe où tout le monde se connait. Déjà, à la 1ère fac, je n’ai pas trop réussis à faire de connaissances. C'est personnel la fac, les gens viennent au début des cours et repartent à la fin, y'a pas de véritables échanges. Mais la, en intégrer une autre, en plein milieu d'année, je vous explique pas à quel point c'est dur!!!! Donc, à la fac, même si je parle avec deux ou trois nanas, je ne me vois pas leur proposer de faire quelque chose car je ne veux pas passer pour une désespérée qui s'ennuie à mourir dans une ville de rêve et qui n'a pas d'amis. Pourtant, c'est ce que je suis.
J'ai fait quelques connaissances en dehors des études. Des mecs... La c'est dur. Car toi, petite ingénue, tu es la pour sympathiser et non à la recherche du flirt. Mais l'amitié entre un homme et une femme, pauvre enfant, si tu crois que ça existe, tu vas avoir de mauvaises surprises. Avec les filles, j'ai du mal. Mes meilleures amies sont des filles mais je les connais depuis la maternelle. Je suis pas contre faire des rencontres avec des demoiselles, au contraire mais faut pas que ce soit des connasses débiles qui rient après chaque phrase, qui m'envoient des textos avec des smiley dedans, qui passent leur temps à critiquer et qui n’ont pas de sujet de conversations si ce n’est que Jason sort avec Linda alors qu’Alberta voulait trop se le faire. Bref, les filles et moi, ça n’a jamais été trop ça (sauf si elle-même n’aime pas trop les filles, là ça passe bien). Les mecs, je les aime bien. C’est moins futile j’ai l’impression. Mon « rêve » ? Jouer à la Wii ou autre console débile avec un type et lui mettre sa raclée (alors que je sais pas y jouer mais passons…). Etre amie avec un mec, je pense qu’il n’y a rien de mieux. Mais l’amitié entre un homme et une femme, ça n’existe pas. Comment je le sais ? Bah j’ai fait des expériences…

1 : Le gars marié :

Quand je suis arrivée sur Paris, j’ai rencontré un type avec qui j’avais fait connaissance sur le net. Sympa, quelques points communs, on plaisante. Je ne connais personne sur Paris, mais je me lance, je fais sa rencontre. Il est marié, je n’ai rien à craindre, on sympathise en tout bien tout honneur. SOMBRE SOTTE ! Il m’a charmé. Je ne voulais pas, j’ai des principes, une morale et je me disais que si je faisais ça, ça m’arriverait aussi quand je me marierai. Il s’est marié en juin, avec une fille avec qui il sort depuis 7 ans. On est en septembre…Je le résonne. Mais il me dit que moi j’ai rien à me reprocher, que moi je suis célibataire. Je résiste…pas longtemps. Je suis seule à Paris, je ne connais personne. La déprime commence à venir. Et lui qui veut me voir. Qu’est ce que je fais ? Il vient me chercher à la gare. On parle. On fait une pause, sur un banc. Une vieille dame avec son chien en face de nous, nous regarde. Je le voyais venir et je ne savais pas comment esquiver. Je ne voulais pas esquiver. Il était gentil avec moi, attentif et attentionné. Faisant semblant (ou s’auto persuadait) de s’intéresser à moi, à ma vie. Il m’embrasse, je me laisse faire. Ca a duré jusqu’à fin novembre. Je m’en veux d’avoir fait ça à sa femme, mais pour une fois, je ne tombais pas sur un guignol. Je m’en veux encore mais je persuade que moi j’étais célibataire, j’ai rien à me reproché. Je lui en veux car au début, quand je n’étais pas encore faible, je lui disais non et il m’a séduite. Je suis jeune et bête. Je crois à ce qu’on me dit, du moins, j’ai envie d’y croire. Je suis seule, j’ai besoin de voir des gens et lui il m’écoute. Ce ne sont pas des excuses, mais peut être, des circonstances atténuantes.
Je suis nostalgique, car même s’il n’était pas toujours avec moi, même si c’est mal ce qu’on a fait, c’est la 1ère personne que j’ai connu ici. Il était gentil, le feeling n’a jamais été aussi parfait. Je passe tous les jours devant le café ou on a passé un long moment, lui a me caresser les cuisses et moi à lui faire des sourires juste avant d’aller chez moi pour la 1ere fois. Je passe devant le café dans lequel on a prit notre 1er verre ensemble et je me dis qu’il était bien avec moi. Un connard avec sa femme, certes, mais avec moi il était bien. Je savais que ça ne durerai pas. Mais outre la relation « un peu » poussée, je pensais naïvement qu’il pourrait toujours être la, à mon écoute etc. QUE NENI. Il est sortit de ma vie aussi vite qu’il y est entré. Les gens se permettent de pénétrer dans ta vie alors que toi, tu n’as rien demandé à personne et une fois que tu t’attaches, que tu as confiance, PLOUF, il s’en va, tu peux agoniser chez toi il en a rien a foutre. Lui, il est heureux. Sa vie est belle. Ils viennent d’acheter un appartement qu’il retape. Et moi ? Bah moi je pleure dans mon lit parce que je n’ai plus personne à voir. Je ne veux pas qu’il quitte sa femme, je veux qu’il soit heureux avec elle mais pourquoi il « m’abandonne » ? Enfin, je pose la question, mais je connais la réponse. C’est comme ça, ce n’était pas fait pour durer et c’est de ma faute.
Me juger pas, ce blog n’est pas fait pour ça. Je raconte juste mes erreurs depuis que je suis sur Paris. Car j’en ai faite plusieurs, et ça fait seulement 8 mois que je suis la. Peut être que les écrire va me permettre de me rendre compte et de moins en faire par la suite, je ne sais pas. Je ne sais même pas si je vais tenir ce blog. J’avais envie de vous parler de lui. Enfin « de vous ». Parler de lui. Ecrire sur lui. Je m’en fiche si ce blog n’est pas lu, il est complètement égoïste. Je veux écrire sur ma « dépression parisienne » pour en rire dans 10 ans. Dire à mon futur mari, regarde comment j’étais à 21 ans, mon désespoir et me dire : c’est vrai que c’était dur, mais ça s’est bien terminé.
Bon, ce premier post commence à être long, je ne voudrais pas qu’il vous lasse. J’ai fait d’autres bêtises, alors si vous m’avez lu jusqu’au bout, je vous invite à venir demain, ou après demain, découvrir mes autres erreurs ! Je suis grave, je vous promets. J’ai tout pour être bien, j’ai un petit studio sympa, des études qui se passent pas si bien que ça mais je suis jeune encore, un travail à coté qui me plait bien. Bref, j’ai tout mais personne…C’est la solitude qui me rend triste mais je suis pas une déprimée au bord du suicide (je vous rassure, je me plaints mais psychologiquement, ça va hein…)

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